Voyages et Randonnées Jour 11 : Les colines de baelahan

La présence au loin du dragon inquiète et focalise l'attention  car en cette matinée il n'a pas encore bougé.

Cette inattention de la aprt de l'équipage devient le moment opportun pour de vils brigands d'accoster à grands cris le navires.

Les ennemis arrivent sur le pont comme le chiendent dans une pelouse. .

8 Brigands sur le pont , 4 sont partit dans les cabines , 5 autres sont descendus dans les cales à marchandises .

Certains d'entre eux veulent tuer, d'autres piller les ressources et quelques uns plus vils œuvrent pour se cloîtrer dans les cabines avec les femmes marchandes.

Melmac s'occuper de ceux sur le pont et laisser ses compagnons s'occuper de ceux qui être à l'intérieur du navire.

Melmac faire transcendance avec Kappa!

Utiliser compétence de Kappa:

  1. ""Evoque une vague qui emporte tous les ennemis dans le sens  du courant sur (niveau chaman) dizaine de mètre et subissent « noyade » 

Placez dans les zones marquées dans ce dessin et donnez vos actions . (attention melmac de bien choisir ta zone pour la vague car il y a des civils, mercenaires et marchandises)

" />

Ben la compétence emporte tous les ennemis (donc pas de risque pour les autres) et dans le sens du courant (donc je me placerais en C3 si je vois bien)

L'ennemi en C3 est jeté à l'eau sans vergogne , emporté une vague rageuse . Epargant ainsi le mercennaire et le marchand .

Melmac déplacer vers l'avant du navire.

Les combats font rage sur le bateau, te déplacer sans heurt sera difficile  d'autant plus qu'un bandit commence à gravir les marches de l'escalier menant au pont supérieur où tu te trouves.
 Mais tu n'es pas seul ...

Voyant que le chemin vers l'avant du navire était bloqué, Melmac, ayant pris la forme du Grand Esprit des Rivières, plongea dans le fleuve à la grande surprise des brigands.

Pensant aux innocents - et aussi aux nombreuses vivres - se trouvant à l'intérieur du navire, Beyla court en direction des communs et des cabines en brandissant sa hache, Farahn la suivant de près.

A son arrivée dans le dortoir (en c10), elle se rue avec rage et violence devant un marchand sur le point de se faire attaquer et s'adresse au pirate qui lui fait face :

" Joue avec moi plutôt, je suis bien plus amusante ! "

Un regard torve , un sourire mauvais , un esprit lubrique et une épée courte au bout de la main , le brigand t'attaque.

Beyla s'esquive de la trajectoire du brigand avec facilité et profite que ce dernier lui tourne désormais le dos pour lui asséner un puissant coup sur la tête avec le manche de sa hache afin de l'assommer.

Il s’écroule au sol lourdement, les marchands sauvés allaient poussés un soupir de soulagement quand une détonation se fait entendre, assourdissante , des éclats de bois volent dans les sens autour de toi alors que la poutre à coté de la Beyla explosait sous l'impact du projectile.
A l'autre bout de la coursive , un brigand essaie péniblement de recharger un gros pistolet .

De l'autre coté de la zone,  la détonation à peine couvert le cri de la négociante en vin lorsque le brigand qui l'a poussé dans une cabine a claqué la porte derrière lui, la plongeant dans les ténèbres; l'isolant avec le pillard malodorant.


Sur le pont les combats continuent; un mercenaire est gravement blessé, appuyé sur la rambarde il tente de repousser les assauts d'un orc .

Voyant que Beyla se défait de son assaillant sans difficulté, Farahn décide quand à lui de s'occuper du pirate se trouvant au bout du couloir.

L'objectif de Farahn est de s'occuper en priorité des marchands afin de les amener tous dans la même pièce, ils seront donc ainsi plus facile à protéger.

Laissant Farahn s'occuper du pirate qui vient d'essayer de lui tirer dessus, Beyla attrape un bout de corde et ligote solidement et sans aucun ménagement le brigand encore assommé après l'avoir dépouillé de ses armes.

Elle revient alors sur ses pas pour inspecter la pièce derrière elle, qui n'est autre que la chambre du capitaine. Par chance, cette dernière est vide. Beyla ordonne donc au marchand de s'y cacher et lui tend l'épée courte du brigand :

" Restez caché ici et prenez ça ! Si vous ne savez pas vous en servir, ne vous en servez pas, mais elle sera toujours mieux dans votre main que dans la sienne. "

Elle court ensuite prêter main forte à Farahn.

Le pirate relève son pistolet en même temps que son regard mais il ne voit rien d'autres que le poing furieux de Farahn lancé à pleine vitesse . Le brigand est projeté en arrière, heurte lourdement les poutres et re tombe au sol évanoui .
Farahn n'a même pas transpirer une goutte.

Beyla ouvre la porte d'une cabine et libère les marchands qu'elle y trouve, les dirigeant vers la cabine du capitaine.

Le seconde porte lui résiste... Il n'en faut pas plus pour contrarier la nordienne qui profère un juron honteux avant de donner un violent coup de botte dans le panneau de bois qui cède au niveau du loquet. Elle s'engouffre alors dans la pièce pour y trouver un brigand penché sur une femme en pleurs recroquevillée tant bien que mal sur elle-même.

Ne laissant pas à son assaillant le temps de se relever, Beyla l'attrape par les épaules et le projette en arrière. Pas de chance pour la crapule, cette dernière atterrit lourdement aux pieds de Farahn.

" Occupe-t'en ! ", lance-t-elle à l'homme tigre.

Elle se retourne alors vers la femme terrorisée et lui tend la main pour l'aider à se relever.

" Venez, madame. On va vous mettre en sécurité. "

Le pirate eut à peine le temps de se relever et de s'apercevoir de l'imposante silhouette devant lui qu'il ressentit directement une vive douleur à l'épaule gauche ainsi qu'à la jambe droite. En effet, Farahn lui assena deux coups puissants qui lui brisèrent respectivement les deux membres.

Avant que le bandit n'ait eu le temps de crier de douleur, Farahn l'éjecta à travers la porte de la cabine faisant face à celle où se trouvait Beyla. Il tomba inconscient sous le choc.

"Beyla, je vais voir vers le fond du bateau, regarde s'il reste des gens dans les cabines puis rejoins moi..."

Même si Beyla ne connaissait Farahn que depuis peu, c'était la première fois qu'elle voyait sur son visage une expréssion aussi froide et impassible.

Les cabines du navire sont sûres et des marchands à l'abri.
Pendant ce temps sur le pont les combats font rages entre les rares mercenaires et les brigands. Un marchand joue de la dague maisil ne tiendra pas longtemps.
 Alors quedans les cales le pillage commence.

Et pendant ce temps, (à Vera Cruz) sur le pont, Aëlyhn évalue rapidement la situation, elle se trouve sur la proue, à l'exact opposé de son chef qu'elle voit noyer un des brigands, et a devant elle sept des malotrus qui ont hélas pour eux choisis le mauvais bateau à aborder. 

Son arc tendu, elle se met à courir et saute vers le bastingage et tire une première fois, avant même qu'elle ne touche la rambarde de la pointe des pieds, un premier pirate (c8) est littéralement cloué au mat par le bras. Son équilibre à peine retrouvé elle tire à nouveau et plante sa flèche dans un ennemi (c4+-) aux armes avec un pauvre marchand tremblant. La flèche pénètre dans ses chairs à hauteur de l'estomac et ressort sanglante se planter dans le pont. Le brigand se tord de douleur et s'évanouit. Le marchand en profite pour se sauver, trop content de pouvoir se mettre à l'abri derrière un mercenaire.

Aëlyhn s'élève alors en grimpant le long des cordages et se place en équilibre sur un espar d'où elle tire presque simultanément deux autres flèches qui viennent chacune se planter dans un bras des deux brigands qui tentaient de la suivre. (c1) Déséquilibrés, ils tentent de se retenir aux cordages mais elle en profite pour se lancer sur eux, et dans une pirouette les pousse à l'eau et se raccroche in extremis à un filin qui la ramène sur le pont. Elle aperçoit alors du coin de l'oeil, l'eau aux abords du bateau qui frémit et comprend que son chef a fait appel aux esprits et décide alors de rassembler marchands et mercenaires à la poupe du bateau, laissant ainsi libre cours à la colère de Melmac.
Les uns et les autres la suivent sans mot dire, certains sans savoir pourquoi que ces aventuriers savent décidément très bien ce qu'ils font...

A la proue du bateau,  l'eau se fait de plus en plus tumultueuse et dans un tourbillon gigantesque, surgit à la grande stupéfaction des brigands et des membres du voyage une créature immense, ressemblant autant à un monstre marin qu'à une ondine.

Tel était Kappa, Grand Esprit des Rivières.

Ses tentacul(ax)es prirent appui sur le bastingage et il lança alors sur le navire une vague gigantesque qui semblait obéir au moindre de ses désirs. Tous tentèrent d'y échapper en s’agrippant de toutes leurs forces au bateau.

Les membres de l'équipage ainsi que les négociants relevèrent la tête après un moment et se rendirent compte que, ormis le fait d'être un peu mouillés, seuls les brigands avaient été emportés par les flots.

Telle était la volonté de Kappa.

Ils étaient à peine en train de réaliser ce qu'il venait de se passer qu'ils aperçurent des licornes d'écume ramenant les brigands évanouis après avoir failli être noyés par les flots.

Ils furent remontés à bord et solidement ficelés avec leurs comparses au fond de la cale sous bonne surveillance .

C'est alors que le corps de Kappa devint flou et se dissipa dans un nuage de gouttlettes pour laisser place à Melmac, complètement trempé et fatigué.

Aëlyhn s'avança alors vers son chef et lui tendit une couverture en le gratifiant du regard. D'un simple mouvement de tête, elle lui fit comprendre que son statut de chef lui était maintenant plus que prouvé et éprouvé et qu'elle le suivrait partout où leurs aventures les mèneraient. Elle grimpa ensuite dans les cordages et s'assit sur un épars pour observer l'horizon.

Après avoir aidé la dame encore confuse et tremblante à se rendre dans la cabine du capitaine, Beyla revient auprès du pirate aux membres brisés qui gît sur le sol, à peine conscient, en gémissant faiblement. Même si ce dernier ne risque plus de s'enfuir ni de s'en prendre à qui que ce soit, Beyla l'attache fermement et le traîne non loin de son comparse, dans la salle des dortoirs tandis que du fond du bateau lui parviennent des bruits de coups et des cris, lui laissant comprendre que son camarade est sans doute tombé sur un autre flibustier.

Elle s'empresse donc de le rejoindre mais à son arrivée, elle ne trouve que Farahn, debout devant un pirate inconscient et deux marchands hébétés. Tout en se penchant pour attacher les pieds et les poings de l'homme assommé, elle "réveille" les deux hommes d'une voix forte et autoritaire :

" Dans la cabine du capitaine avec les autres et n'en sortez pas ! Allez !

Farahn, jetons cette ordure avec les autres dans les dortoirs puis descendons, il y a du grabuge à la cale. On va peut-être devoir montrer les crocs..."