Voyages et Randonnées Jour 11 : Les colines de baelahan

La rumeur de la bataille aux étages supérieurs était un peu atténué parle plancher et les cris de joie des brigands qui découvraient les ressources des marchands .
l'un d'eux s'eclama : " hé Oldren , t'as ils ont des épices ahaha ,... Oldren ? Oldre...
Le brigand chercha du regarda son compagnon mais ne vit qu'une petite créature ailée aux yeux noirs  suivi d'un flash bleu ; et se retrouva soudainement plongé dans l'eau tumultueuse du fleuve  aux cotés de Oldren .  Ils ne comprenaient toujours pas ce qui se passaient mais la peur balaya leur coeur aussi vite car un dragon rouge plongeaient sur eux .
Saisi aux épaules ils furent largués aux cotés de leurs compagnons mouillés sur le pont. Un mercennaire les ligota et ferré dans les cales.

Beyla et Farahn s’occupèrent des civils rescapés  et pansèrent grossièrement le bras du mercenaire blessé dans les cales par un méchant coup de hache .

Dans les voiles Aëlyhn regardait la côte lorsqu'un mouvement attira son regard, elle  fit signe à  son chef  qui s'approcha du bastingage .

Melmac s'approcha difficilement du bastingage tant il était fatigué et aperçu sur la berge 2 complices des brigands attendant vainement que leurs compagnons leur envoient les fruits de leur larçin... 

Melmac s'adressa alors à Aëlyhn : " Aëlyhn, je remercier toi de bien vouloir les clouer au sol pour livrer eux également aux autorités locales. Toi pouvoir t'en occuper?"

Aëlyhn, en guise de réponse, bandit la corde de son arc et décocha une première flèche, suivie de près par une seconde qui se fichèrent chacune dans le pied d'un brigand, les clouant sur place littéralement. Elle hocha la tête en direction de son chef et se remit à guetter l'horizon, à la recherche d'un éventuel dernier ennemi.

Une fois les derniers brigands rapatriés sur le navire et mis au fer à fond de cale. Le capitaine évalua les dégâts du navire : minime, heureusement ; quelques marchandises ont été abîmées mais rien de dramatiques. Les négociants , certains traumatisés par la violence, remerciaient les farouches guerriers embarqués.
Un marchand fit le plus eau de ses compliments à la compagnie des Hérauts : vous valez vraiment l'investissement engagez sur votre présence. 

Une fois les blessures ,légères et un peu moins, soignées , le navire se remis en route non sans avoir permis au second de prévenir la garnison la plus proche grâce à une pierre témoin de communication .

Le navire va faire escale, signala le capitaine, au village de Cambrison où les gardes embarqueraient les brigands. De courtes réparation allaient se faire au navire et un médecin allait venir terminer les soins apportés aux blessés.